10-14 ans

En grandissant, l’enfant a de plus en plus besoin de contrôler sa vie et donc d’être plus libre dans ses choix avec tous les dommages collatéraux que cela sous-entend. Cela nécessite donc un accompagnement constant pour lui éviter d’avoir peur, de se faire mal, de se décourager… en lui laissant la possibilité de se tromper.

Les bienfaits des tâches ménagères

Depuis des dizaines d’années, de nombreux chercheurs américains ont montré que les enfants à qui on confie des tâches ou des responsabilités sont plus à l’aise à l’école et en société car cela les aide à mieux communiquer, à mieux comprendre les autres, à mieux trouver leur place dans leur environnement.

Chaque enfant dys a du talent !

Il faut que l’enfant dys prenne conscience de sa valeur. Certes, en milieu scolaire, ses difficultés sont exacerbées par ses dysfonctionnements. Mais une fois dépassé le stade scolaire, le dys réussit à s’épanouir, à trouver sa place et réussit à s’inclure dans la société. En tous les cas, pour la plus grande majorité d’entre eux. Il faut bien comprendre que chaque élève a un talent, une étincelle ; il faut juste l’allumer !

Souvenez-vous, dans la première partie, nous avons énuméré la longue liste des thérapeutes à consulter. On comprend dès lors pourquoi parfois l’enfant a besoin d’un vrai break. Il est primordial d’autoriser son enfant à exprimer tous ses ressentis, ce qui lui permettra de se construire tout au long de sa vie.

Il doit pouvoir prendre ses propres décisions, faire ses propres expériences, faire ses propres choix, et exprimer ses envies aussi.

Ensemble, elles assurent une fluidité des événements du quotidien et une volonté de douceur partagée. Ici, l’humain suit ce qu’expriment ou dictent les saisons tout au long de l’année. 

Faire l'éloge de la lenteur

On peut traduire Slow life par «vie lente» ou «mouvement de vie doux». En France on parle de «prendre le temps de vivre».

On y trouve un rythme de balancement qui rassure, une pesanteur quasi inexistante et un sentiment général de calme et d’harmonie. Derrière cette réalité que l’on peut rencontrer au Danemark, il existe des principes à mettre en place pour arriver à ce fameux équilibre.

1. Réduire le stress grâce à un tempo commun qui respecte le rythme de chacun

Dans un monde où tout s’accélère, où les distractions sont de plus en plus nombreuses, l’offre et la connexion illimitées, où le digital a supprimé les frontières mais aussi les barrières de protection, où la performance, la compétition et l’exigence sont omniprésentes, la maîtrise de leur attention et donc la clarté de leur esprit leur seront d’une grande utilité.

Tout d’abord, ne cédez pas à la panique.

Nous sommes en plein dans les épidémies de rhinovirus qui vont de septembre à novembre, comme tous les ans, mais aussi dans les bronchiolites et la grippe qui montre le bout de son nez. La COVID-19 n’y est pour rien. Le bon sens, est le suivant.

L'activité d'aujourd'hui se focalise sur l'exercice du coeur : Il s’agit ici de travailler son ouverture aux autres, sa bienveillance, son empathie, le respect de l’altérité. Il peut compter sur tout l’amour qu’il a en lui, même dans les moments difficiles, pour surmonter les épreuves et apaiser les confl its. 

Les couleurs véhiculent une énergie particulière. Quand l’enfant en manque, faites appel à l’arc-en-ciel !

Une vie en couleurs

La méthode repose sur trois clés essentielles : Une bonne communication, une mise en valeur des ressources de l’enfant et l’augmentation de ses expériences positives.

Clé N°1 : expliquer les choses difficiles

Il s’agit donc de trouver les bons mots quand notre progéniture se sent impuissante ou inquiète, face aux événements de la vie, pas toujours faciles à gérer, voire à digérer.