6-10 ans

La première séance a permis d’apprendre à vos enfants l’importance de la respiration. Ils ont intégré l’idée que le rythme respiratoire doit être conscientisé car c’est par lui qu’ils pourront améliorer leurs humeurs ou les favoriser selon un événement ou une situation.

Ils savent également que porter leur attention sur un point précis du corps amène une détente musculaire et nerveuse. Ils sont sensibilisés à la notion de schéma corporel, qui est un repère pratique afin de développer l’écoute du corps (courbatures, manque de tonus, anxiété due au stress…).

Nous avons tendance à l’oublier, mais l’être humain – au même titre que les animaux, les végétaux et les minéraux –, fait partie intégrante de la nature. C’est pour cela que l’on a souvent le sen

C’est par le biais du jeu que, non seulement il apprendra avec plaisir, mais aussi qu’il découvrira la notion de règles ; et c’est en les observant qu’il va se construire et développer la capacité d’instaurer ses propres règles pour devenir autonome et responsable. L'activité du Permis de rester à la maison en est un très bon exemple ! 

Qu’est-ce que c’est ?

Plus vous êtes attentif à l’évolution de votre enfant, mieux vous pouvez l’accompagner et lui fournir les outils nécessaires, selon ses besoins. C'est pourquoi il convient de le responsabiliser petit à petit et d'une façon adaptée à son âge. En voici quelques exemples :

De 3 à 4 ans :

L’autonomie, c’est surtout la capacité de raisonner, de décider, de formuler sa pensée, de choisir d’agir ou de s’exprimer. Elle se construit avec les autres, en société, dans un groupe… avec toutes les contraintes sociales que cela implique.

Le Gribouill'art, qu'est ce que c'est ?

Le gribouill’art est un petit jeu permettant à l’enfant d’écrire tous les mots qui lui passent par la tête quand il a peur. L’idée est de créer un énorme brouillard tout autour, afin d’en faire le symbole de son émotion. Cela lui donne une forme palpable, sur laquelle il peut se libérer en donnant des grands coups de crayon.

De plus, nous avons souvent besoin d’un autre pour nous sécuriser, car il est difficile de s’apaiser ou de dialoguer avec soi-même quand nous sommes tétanisés. Alors, quand notre enfant a peur, nous tâchons de nous défendre à notre manière, parce que cela réveille des émotions qui nous dérangent.

Pensons par exemple à un enfant qui pose sans cesse des questions sur la mort ou sur les accidents. Au début, nous essayons de lui répondre mais, en fonction du rapport que nous avons nous-mêmes avec la mort ou notre histoire personnelle, cela peut nous peser.

Dans ce contexte, réfléchir sur les peurs actuelles des enfants, sur la réalité qu’ils vivent et sur leurs questionnements nous paraît plus que nécessaire. Voici donc 8 étapes pour ouvrir la communication :

En effet, on se rend compte que la durée de vie de ces équipements se réduit : la durée de vie moyenne d’un ordinateur en 2005 était de 2 ans contre 6 ans en 1997.

Lui faire comprendre qu’il n’est pas parfait est essentiel. Après tout, l’êtes-vous vous-même, parfait(e) ? Non ? Alors pourquoi voudriez-vous que par je ne sais quel miracle votre enfant le soit ? Le problème n’est jamais l’échec, mais la répétition de celui-ci. Une mauvaise note ? Génial, c’est l’opportunité de faire mieux la prochaine fois. J’entends d’ici certain(e)s d’entre vous dire : « Si nous allons dans ce sens, notre enfant va finir par rentrer à la maison avec un grand sourire et nous dire : «Papa, maman, c’est génial, j’ai eu un zéro en maths !» ».